Chronique
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Je reste toujours surpris par cette série qui s’éloigne des standards habituels de la série mère imaginée par Peyo, à la fois dans son style d’écriture et son graphisme…
Là, avec « L’île vagabonde » l’aventure s’étend sur trois albums, ce qui est une première, offrant ainsi une grande aventure où les auteurs ont pu étaler l’histoire, l’approfondir et donner assez de consistance aux ressorts scénaristique ! Et ce n’est pas pour nous déplaire car l’aventure est dense, avec son lot de retournement de situations, de magie, de créatures bizarres et de lieux hors du commun qui consolide cet univers qui se rapproche plus de la fantasy que du médiéval.
Graphiquement, on est bien plus proche des œuvres des studios italiens dans leur façon de coloriser que de l’univers de Peyo, mais cela à la particularité de pouvoir fédérer un autre public plus jeune !
On attend la suite avec impatience, tant ce tome a pu nous mettre l’eau à la bouche… et surtout avec un final qui renvoi à la série mère. |