Chronique
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Et dire qu’on est déjà au 12ème tome de cette série de fantasy qui nous émerveille encore et encore depuis tant d’années sans nous lasser !
Peut-être est-ce dû aux scénarios de Christophe Arleston qui a opté pour des récits complets à chaque tome, ce qui ne fait pas éterniser la série en cycle interminable…
On se plonge dans cette aventure où Arleston bouscule quelques codes de la série notamment en ce qui concerne Fourmille dans sa façon d’enquêter et d’être elle-même, ce qui donne plus de consistance à l’intrigue et apporte son lot de retournements de situation, même si l’ensemble manque de peps comme les premiers tomes. Cela pourrait être dû à une certaine lassitude du scénariste ?... Il manque quelque chose à l’histoire, et cela, malgré de bonnes idées.
Par contre, au niveau du dessin, Alesssandro Barbucci arrive toujours autant à nous surprendre, créant des décors époustouflants comme un bestiaire hallucinant qui donne vie à cet univers parallèle au nôtre.
Certainement l’album le moins palpitant de la série, il offre cependant à sa lecture une mécanique narrative avec tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série... |